À 61 ans, je me suis remarié avec mon premier amour : le soir de notre mariage, alors que je déshabillais ma femme, j’ai été choqué et navré de voir…

À 61 ans, j’avais trouvé l’amour une nouvelle fois. Après la mort de ma femme, il y a huit ans, je m’étais résignée à la solitude. Mes enfants avaient leurs vies, et je n’avais plus que la routine pour me tenir compagnie. Mais un jour, en parcourant Facebook, un visage familier m’a sauté aux yeux : celui de mon premier amour, celle dont j’avais été éperdument amoureux au lycée.

Elle était là, plus belle que jamais, et tout à coup, les souvenirs du passé sont remontés à la surface. Elle m’avait toujours fait rêver, et cette image me bouleversait. Je n’avais jamais oublié son sourire éclatant, ses yeux rieurs et sa douce voix. Je lui avais écrit un message, puis un autre, et petit à petit, nos échanges étaient devenus plus fréquents. Au bout de quelques semaines, nous avons décidé de nous retrouver en personne.

Elle vivait seule depuis la mort de son mari, et nous avons vite retrouvé cette complicité que nous avions partagée autrefois. Nous nous retrouvions souvent, à discuter, rire et partager des moments simples. Un jour, en plaisantant, j’ai proposé : « Et si on se mariait, toi et moi, pour passer le reste de nos vies ensemble ? » Elle a ri, mais ses yeux se sont embués de larmes. J’avais bien vu qu’elle en avait envie, mais je n’avais jamais imaginé que cela arriverait vraiment.

Nous nous sommes mariées dans une petite cérémonie, entourées de quelques amis proches et de voisins. Je portais une robe simple mais élégante, elle était radieuse dans sa tenue traditionnelle, le sourire éclatant. La soirée s’est déroulée dans la joie et l’amour, et je me sentais renaître.

Plus tard, après le dîner, dans la douceur de notre chambre, je l’ai aidée à retirer sa robe. Mais en la voyant, un frisson m’a parcouru. Mon cœur s’est serré en découvrant ce que j’aurais voulu ne jamais voir… Le temps n’avait pas été clément avec elle, et un secret caché depuis des années s’est révélé à moi, me laissant brisée et perdue.

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